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l n’est pas évident d’évaluer la notion de célébrité : quels sont les fondements du succès ? à partir de quel niveau de médiatisation peut-on être considéré « star » ? D’autant plus que la gloire en tant qu’objet d’étude recouvre plusieurs dimensions. Il est ainsi compliqué de savoir quels critères sont déterminants dans l’apparition d’un malaise chez une personne connu : est-ce le trop plein d’attention sociale ? l’ampleur des délicats négatives ? l’obligation de « se tenir à l’écart » forcément pour s’y soustraire aux fans ? l’alternance de résultats étincelant et de périodes plus zen ?
Qu’on la critique ou pas, la popularité est un phénomène en lien avec la visibilité. Touchant toutes les populations sociales, elle de savourer et de s’identifier que ce soit à un sportif, un membre d’une famille souveraine, ou un écrivain par exemple. Ces dernières années, grâce aux plateformes sociales, tous peut choisir son statue au gré de ses fantasmes. En présentant son quotidien, la popularité participe à la envie et à l’identification de ses fans.
Le rêve d’examiner ce qui est secret, de solliciter l’autre du regard pour savoir qui l’on est, d’aller perforer la clé de la légende, prend son principe aux premiers âges de sa jeunesse, plus précisément à le style pénien du développement. C’est le moment des pourquoi et des comment. de quelles natures différences entre les garçonnets et les filles ? Comment suis-je né ? Qu’est-ce qui se passe dans la piaule de créateur et mère ? Qu’est-ce que l’on me cache ? La question de connaître le monde recèle une question nettement plus privé : celle de savoir d’où l’on vient, soi, et marquer enfin la nature de l’acte qui nous a engendré. Ainsi, les hypothèses de sa jeunesse vont bon train et le regard scrute dans les yeux et les éloquence de l’autre l’explication au rafraîchissement de sa naissance : la chaire essentielle, celle de la conception par l’union des deux sexes.
N’oublions pas que la popularité, à l’inverse à la célébrité, est née de la rencontre de la démocratie et de la d’utilisation. La renomée n’est de ce fait plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des responsable militaire, désormais chacun peut son quart heure de notoriété comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les prochains médias comme web et les jeux video télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu ce postulat extrêmement puissante. Le idéologue Roger Caillois écrivait déjà en 1958 quelle valeur le occasion est présent lors de la lumière des célébrités et quelle valeur cette ‘ opportunité étonnante ‘ était bénéfique au concept même de la célébrité[1]. En effet tous en regardant sa chéri peut rêver et se dire : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au réclame, voilà un miracle qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une intimidant qui peut revenir au plus triste ou au plus pauvre. En cela, la gloire bafoue la ordre implantée, blessé la sort que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratie et la notion de réalisation de soi sont bien de l’histoire.
Tous n’ont pas le même problème. La notoriété concorde fréquemment avec un train de vie qui toutes les luxures. La fête d’abord ponctuelle est permanente, jusqu’à n’être plus du tout gage d’amusement. Whitney Houston fait maintenant partie de ces stars qui, au summum de leur réputation, ont pris goût à la médicament, et ont vu leur carrière, et même leur vie dissolue dans la chimie de leurs mélanges. Et puis il y a ceux qui malgré une parité obvious, n’ont plus eu la activité d’endurer les ratage de la célébrité. Vies traquées, relations intéressées, perturbées, relation violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou encore Heath Ledger, et la célébrité a furieux leur spécificité, la rendant noir, ajout, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, morose
Il estime que quelques scénarios «pré-établis», comme les remue-ménage d’ascension sociale idéale, provoquent une réaction passionnelle parce qu’ils sont engagés dans nos cerveaux. Si l’on observe les agitation de vedettes, celle qui défraient le plus l’histoire aillent souvent à l’une ou l’autre de ces structures de base. Prenez la soir de Charlie Sheen, par exemple : c’est le récit distinctif du «mauvais garçon» –qui change fréquemment à la fouille de rachat, sur le aspirations du «Fils prodigue».
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